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    Le bruit léger des vagues

    Me ramène étrangement vers toi,

    Sur cette plage, une bague,

    Un souvenir au goût de soie.

     

    Les vagues pourraient en raconter,

    De jolies histoires d’amour !

    Fermez les yeux et imaginez…

    De tendres mots et des toujours.

     

    Les bagues parfois restent souvenir,

    On oublie les bons et mauvais moments,

    Restent parfois quelques éclats de rire,

    Une sirène sort ébahie du bel océan.

     

    Rien n’est plus beau qu’une histoire,

    Terminée sans aucun regret ni haine,

    Dans ces cas là on peut crier victoire,

    Plage de sable fin ; joies saines


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    Soleil tu as tardé aujourd’hui,

    Mais te voici au rendez-vous,

    Pour colorer nos jolis fruits,

    Balayés par un vent tout doux.

     

    Dans cette grande ville citadine,

    Un petit village a pris naissance.

    Il y fait bon siroter une grenadine,

    Sur la terrasse, on se sent en vacances.

     

    Dans sa potiche, le cerisier,

    Coule des jours paisibles.

    Il fait de l’ombre à l’abricotier,

    Un verger sur un balcon c’est plausible !

     

    Qu’il fait bon profiter de la vie,

    Ecrire, lire, se reposer, c’est la vie rêvée.

    Se laisser vire et oublier tous les soucis,

    Comme s’ils n’avaient jamais existés.


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    Nuage, boule de coton,
    Tu prends toutes les formes.
    Là-bas à droite tu es rond,
    Un peu plus loin, tu sèmes,


    Une ribambelle de petits yeux.
    Tu glisses tout doucement,
    Dans le ciel aujourd'hui bleu,
    Transporté par un petit vent.


    J'aperçois une grande licorne
    A travers la fenêtre du velux,
    A moins que ce ne soit un capricorne.
    Seule l'imagination permet ce luxe…


    Entre tout ce petit monde,
    Volent quelques hirondelles,
    Qui dans ce décor se fondent,

    Dans nos rêves à tire d'ailes.


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         Soleil bleu !

     

     

     

    Un peu de soleil dans un grand ciel bleu

    Déjà l'on peut commencer à espérer…

    Le voir arriver et penser au soleil de feu

    La neige ne sera plus là à nous faire glisser.



    Le printemps dans deux mois se réveillera

    Quelques oiseaux chanteront à tue-tête

    Il faudra faire attention avec ta chistéra

    A ne pas les déranger ma petite sœurette.





    Ferme les yeux et tu sentiras cette impression

    De printemps qui nous amènera vers l'été

    Une jolie robe, quelques fleurs et l'imagination





    Vagabonde nous aidera à nous fera rêver…

    Anémones, primevères, jonquilles et lilas

    Sortiront de terre pour nous ravir toujours.

    Le bourgeonnement de tous les arbres par là

    Ce sera le signe du retour des beaux jours.


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  • Si tu connais et tu sais ce qu’est l’Amour,

    Tu possèdes le plus grand des trésors.

    Jamais découvert jusqu’à ce jour.

    Ton cœur est recouvert de paillettes d’or.

     

    Si tu as le cœur froid et sec,

    Tu ne pourrais jamais aimer,

    Ni apprécier un oiseau qui ouvre son bec,

    Pour à ses petits leur donner la becquée.

     
    Ne donnez pas de vacances à votre cœur

    Si vous savez tendre l’oreille et l’écouter,

    Au fil des jours il vous apportera le bonheur,

    Vous serez surpris de toute sa générosité.


    Chaque jour entretenez l’Amour,

    Dans ce domaine, rien n’est jamais acquis.

    Protégez le, il restera pour toujours,

    Comme l’arbre et son écorce de vie.

     
    A vous qui devant votre écran, me lisez,

    Merci de ce moment et de votre attention,

    Que l’Amour vous fasse toujours planer ;

    En douceur, c’est beau la passion.


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  • Un ciel bleu qui fait rêver,
    Nous voici face à la Chambre d'Amour,
    Au soleil au mois de janvier,
    J'aimerai y lézarder toujours.

    Les vagues sont très hautes,
    Comme est jolie leur écume,
    Quelques surfeurs visent la loupiote
    Odeurs des embruns je te hume.

    Phare de Biarritz sur la plage d'Anglet,
    J'aime te photographier
    Tu est beau et tu en "jette"
    Doux plaisir que de te regarder.

    Océan j'aime te retrouver,
    A n'importe quelle saison,
    Près de toi nous reposer,
    Ceci en n'importe quelle saison.

     

     

    Océan

     

    Océan

    Océan

    Océan

    Océan

    Océan


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    On t’appelait la petite chinoise,

    Avec ses jolis petits yeux bridés.

    Parfois en tahitienne, couleur framboise,

    Remportant la coupe pour l’été.

    Tu étais une petite fille modèle,

    Toujours habillée de rose.

    Devenue belle demoiselle,

    Pour laquelle j’écris cette prose.

    Plus tard l’étudiante brillante que tu étais,

    Faisait l’admiration de tous à l’unanimité,

    J’aimerais te voir pour toujours très gaie,

    Comme je suis heureuse de t’avoir retrouvée.

    Du jour où tu es née, tu m’as comblée

    Même pendant la période de l’adolescence

    Tu n’étais que du bonheur dans mes journées

    Quand tu es partie, tu as laissé un vide immense.

    A ce moment là, sans toi, il m’a fallu survivre

    Même si la joie de te savoir heureuse

    Te voir arrêter tes études et tes livres

    Fût pour moi comme une pierre précieuse

     

    La petite chinoise

     

    C'est du bonheur

     

    Ouvrir ses volets le matin,

    C’est du bonheur,

     

    Sortir son petit chien

    C’est du bonheur,

     

    Ne plus voir le médecin,

    C’est du bonheur,

     

    Tirer un trait sur le trop-plein

    C’est du bonheur,

     

    Apprécier son traversin,

    C’est du bonheur,

     

    Oublier le train-train

    C’est du bonheur,

     

    Danser avec un tambourin

    C’est du bonheur,

     

    Ne plus craindre le lendemain

    C’est du bonheur,

     

    Partager des moments avec les siens,

    C’est du bonheur,

     

    Retrouver ses amies

    Au téléphone, dans les magasins,

    C’est du bonheur,

     

    Poèmes écrit avec des amies

    Le bonheur

    Faut-il en avoir peur ou l'approcher ?
    telle est la question que je me pose.
    Faut-il le fuir ou l'apprivoiser ?
    si seulement je n'avais peur qu'il n'explose.

    Le bonheur, quel joli mot,
    Il peut aussi devenir compliqué,
    Ne me dîtes pas que c’est faux,
    Parfois on ne peut l’expliquer.

    Cette nuit d’été, sur une plage,
    Voilà ce qu’était le bonheur,
    Les vagues dansaient, on oubliait notre âge,
    Ils battaient fort nos deux cœurs…

    Sur la joue d'une belle de nuit
    Ou bien au bord d'un mouchoir
    Il peut glisser comme une perle de pluie
    Et apporter amour ou désespoir

    Fuir le bonheur de peur qu'il ne se sauve
    serait-ce la manière pour ne point souffrir
    Où se nicher au fond d'une douce alcôve
    fermer les yeux puis s'ériger pour ne pas mourir.

     

    La petite chinoise

     


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